Le trilliard, c’est mille milliards de dollars, soit 10 puissance 12 (1 000 000 000 000) dollars. Autant de zéro, ça donne le tournis… Cette somme, c’est le montant que devrait atteindre la fortune du fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, d’ici 2026. Rien que ça… Cette fortune ferait alors de lui, le premier trillionnaire de l’Histoire (ou billionnaire dans l’échelle longue du système international d’unité).
C’est une somme difficilement concevable tellement elle nous semble irréaliste. D’après le Bloomberg Billionnaires index, la fortune de l’homme le plus riche du monde, s’élève actuellement à 143 milliards de dollars. Mais d’après une étude menée par Comparisun, une plate-forme de comparaison américaine dédiée aux entreprises, le seuil historique de 1.000 milliards de dollars pourrait être atteint dans quelques années par le PDG d’Amazon qui sera alors âgé de 62 ans. Pour arriver à cette conclusion, l’étude a été réalisée en calculant la croissance annuelle moyenne des 25 plus grosses fortunes mondiales sur les cinq dernières années, avant de l’appliquer sur les années à venir.
Selon cette étude, Jeff Bezos a vu sa fortune augmenter en moyenne de 34% au cours des dernières années. Mais 2020 pourraient être une des plus rentable pour le géant du e-commerce. Depuis janvier, et notamment grâce à la crise du coronavirus, l’homme le plus riche du monde a vu sa richesse progresser de 20%, soit d’environ 25 milliards de dollars. Avec 1.000 milliards de dollars, il pourra se vanter d’avoir une fortune supérieure au PIB de 179 pays, soit environ 43,7% de la population mondiale. Rien que ça !
La réussite se ferait-elle au détriment des salariés et de leur santé ? La forme interrogative est évidemment ironique, bien sûr que oui. En effet, dès le début du confinement, Amazon a souhaité maintenir ses activités non-essentielles, faisant prendre des risques à ses milliers de salariés. Les entrepôts présents sur le sol français ont rouvert aujourd’hui, après qu’un accord ait été signé avec les syndicats : des mesures sanitaires devront être prises dans le cadre de la crise du coronavirus. Encore heureux ! Visiblement, pour faire du profit il faut mettre le prix, tant que le coût reste humain…
Le Média pour Tous
Non là vous avez déconné grave sur les termes dans la première phrase et le titre.
Milliers Millions Milliards *Billions* Billiards Trillions Trilliards
=> Donc ce serait le premier billionnaire, et non trillionnaire ou pire trilliardaire.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Billion_(nombre)
Et dans les pays anglophones, il n’y a pas les -iards, donc là on fait Millions Billions Trillions. Il faut donc traduire les trillions anglais en billions français. (cf. wiki, échelle longue / courte)
Et pourquoi pas un boycott ? Comme cet article m’a littéralement ECOEURE je résilie mon compte Amazon dès aujourd’hui et prends l’engagement de ne plus jamais commander quoique ce soit chez eux !
J’espère que beaucoup de lecteurs du Média feront pareil.
Le chiffre d’une fortune a moins d’importance que : 1 : La manière dont on la gagne… 2: La manière dont on en use. Or, Jeff Bezos a créé une entreprise à partir de rien, contrairement à ces authentiques parasites que sont ceux qui « jouent » en bourse, achetant puis revendant des actions sans jamais rien apporter à la société. De plus, je ne sache pas qu’il nuise autant qu’un Georges Sorros, par exemple, dont les « no borders » qu’il finance par le biais de son « Open society » organisent le trafic d’êtres humains, dont « Le Média » parlait récemment. Je ne sais pas… Lire la suite »