Des médecins ont révélé que des médicaments avaient été testés sur des patients non consentants atteints du Covid-19, indique « Courrier international ».
C’est un scandale sanitaire qui secoue le Brésil. Depuis plusieurs jours, la commission d’enquête parlementaire (CPI) du Sénat brésilien s’intéresse à un groupement hospitalier national et service de mutuelle, Prevent Senior. Un dossier de 10 000 pages mettant en cause une étude expérimentale menée sur des patients atteints du Covid-19 a été révélé par un groupe de 15 médecins et anciens médecins de l’entreprise, rapporte Courrier international, citant la chaîne brésilienne GloboNews. Le groupement hospitalier, lui, nie les faits.
Ces professionnels de santé ont tiré la sonnette d’alarme. Ils expliquent avoir subi des pressions pour administrer un « kit Covid » à leurs patients, qu’ils qualifient même de « cobayes humains ». L’étude n’avait par ailleurs pas recueilli l’autorisation du Comité national d’éthique, ni le consentement des malades et de leurs familles. Le traitement était composé de plusieurs médicaments – qui n’ont pas prouvé leur efficacité contre le Covid-19 : l’hydroxychloroquine, l’ivermectime, ainsi que l’azithromycine. Neuf patients seraient morts, selon le dossier.
Quelle blague… Et on relaie ça… Pressions sur les médecins pour leur retirer leur liberté de prescrire, pression sur les patients pour leur extorquer le consentement, c’est ce qu’on a fait à grande échelle en France et ailleurs aussi. Et ça tue. Mais non, on va chercher Bolsonaro à l’autre bout du monde pour expliquer que c’est pas bien.
En début d’année ma famille et moi-même avons attrapé le covid au Brésil, on s’est soignés suivant le protocole du professeur Borody incluant notamment l’ivermectine, qui est en vente libre pour 1.50 euros sur place. Bien que mon père ait par le passé subi une transplantation, un cancer de la peau et un triple pontage il a comme nous traversé la maladie sans le moindre problème. Aujourd’hui tous de retour en France aucun de nous n’est vacciné, subissant les privations de libertés qui y sont associés, songeant aux millions de français à qui l’injection expérimentale à été imposée sous le… Lire la suite »