Une tribune est parue ce mercredi 14 avril dans l’hebdomadaire Marianne dénonçant les violences subies par des lesbiennes au nom de la lutte contre la transphobie. Les signataires y dénoncent les dérives du mouvement LGBTQIAP+.
Une scission se fait de plus en plus sentir au sein du mouvement LGBT. Arrivons-nous à la limite des dérives ultra-progressistes ? C’est en tout cas ce qu’espèrent les signataires de cette tribune. Dans celle-ci, des femmes décrivent la pression qu’elles subissent à l’intérieur de la communauté. Au-delà des brimades reçues « de l’extrême droite traditionnelle », ces féministes dénoncent également un harcèlement de la part d’activistes se réclamant de l’antifascisme. On leur reprocherait en effet d’être trop sectaires car refusant les relations sexuelles avec des « femmes à pénis », c’est à dire des hommes ayant « transitionné ». Il semblerait que la notion de lesbianisme ne soit pas bien comprise de tous…
Selon certains militants, dire non à un transgenre serait transphobe
Les signataires expliquent dans leur tribune, qu’elles subissent depuis quelques années, des violences de la part de ces activistes. Pour s’en protéger, elles ont créé des espaces pour leur permettre de vivre leur homosexualité plus sereinement. Mais là encore, un problème se pose. En effet, elles constatent amèrement que « les hommes ayant transitionné tentent systématiquement de prendre le contrôle des associations lesbiennes ». Pour certains de ces collectifs ultra-progressistes « dire non à une femme en tant que lesbienne parce que cette femme a un pénis, [serait] confondre identité sociale de genre et désirs ou pratiques sexuelles ». Ainsi, elles sont parfois accusées de transphobie… à cause de leur orientation sexuelle. On nage en plein délire !
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Je sais pas ce qui vous fait dire que je suis un homme, mais je ne suis pas un homme…
Les dérives du mouvement semblent de plus en plus aberrantes. Il devient difficile depuis quelques années de passer à côté de ces dernières. On se souvient ainsi d’une séquence kafkaïenne lors d’une émission d’Arrêt sur image. Lors de ce passage, devenu célèbre, Arnaud Gauthier-Fawas, administrateur de l’Inter LGBT, s’offusquait que le présentateur le désigne comme un homme, appelant à ne pas « pas confondre identité de genre et expression de genre ».
Le culte de l’individu
Ces revendications, de plus en plus absurdes, font écho à une société toujours plus individualiste où les désirs les plus insensés de certains prennent le pas sur la vie en société. Gangrénant une certaine partie de la gauche, mais ayant également progressé jusqu’au camp néolibéral, comme on le voit aux Etats-Unis, ces luttes semblent nous détourner un peu plus chaque jour d’autres combats primordiaux pour la collectivité. Et la justice sociale, c’est pour quand ?
Le Média pour Tous
Voir ou revoir
Mon dieu mon dieu dans quelle direction va t’on c’et n’importe quoiquel bande de plouc
Ni homme ni femme c’et quoi un lezard quelle bande de degenerer
Dans ce pays il manque un poutine
L’Europe est vraiment décadente, les hommes perdent l’esprit !
Un film d’horreur !
C est vraiment des problème en interne. La communauté gay en a absolument rien à foutre de tout ces problèmes car on y comprend rien. Il faut bien comprendre que ce ne sont qu une toute petite minorité de personne de notre communauté qui communique au près des médias des trucs qui n ont pas de sens. Il devrait régler leurs problèmes en interne. Le mariage on l’a, et la lutte contre l homophobie est une priorité, mais la c est comme dans tout mouvement, ya toujours des gens qui lutte pour des choses qui sont anecdotique et impossible à… Lire la suite »