Réfugié politique en Belgique, l’ancien président d’Equateur a écopé de huit ans de prison en première instance pour corruption dans son pays. Il dénonce un «show» et entend bien porter l’affaire devant la justice internationale.
L’ancien président de gauche Rafael Correa a été condamné par contumace le 7 avril à huit ans de prison en première instance par la Cour nationale de justice (CNJ) d’Equateur pour corruption, l’intéressé niant fermement toute implication dans l’affaire, survenue au cours de son mandat. Exilé depuis 2017 en Belgique, où il a demandé l’asile politique, Rafael Correa a dirigé l’Equateur de 2007 à 2017. Le pays est désormais dirigé par son ancien vice-président, Lenin Moreno, qui a totalement rompu avec la politique sociale de son prédécesseur pour réaliser un tournant néolibéral.
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