[vc_row][vc_column width= »1/6″][/vc_column][vc_column width= »2/3″][vc_single_image image= »5496″ img_size= »large »][vc_empty_space][vc_column_text]
[/vc_column_text][vc_empty_space height= »20px »][vc_column_text]
Dans un entretien aux Échos publié dimanche soir, le Premier ministre Édouard Philippe a détaillé le mécanisme la hausse de revenus de 100 € pour les salaires à bas revenus, annoncée par Emmanuel Macron la semaine dernière. Le gain de 100 € net pour les salariés proches du Smic passera « par une hausse massive de la prime d’activité » qui sera versée « dès le 5 février pour compléter le salaire de janvier », a ainsi annoncé Édouard Philippe.
Invitée de RTL ce lundi matin, la ministre du Travail Muriel Pénicaud est revenue sur cette mesure, détaillant les conditions dans lesquelles l’augmentation de la prime d’activité serait appliquée. Elle a précisé que les 100 € de prime d’activité ne concernerait pas que les salariés, mais bénéficierait également aux fonctionnaires et aux indépendants (auto-entrepreneurs, agriculteurs, artisans, commerçants…) qui ont des revenus aux alentours du Smic :
Nous mettons en place des mesures de justice sociale qui permettront à ceux qui travaillent de vivre mieux. #RTLMatin pic.twitter.com/NRgUXpzte2
— Muriel Pénicaud (@murielpenicaud) December 17, 2018
Muriel Pénicaud résume ainsi : « tous ceux qui travaillent et qui ont de faibles revenus de famille seront concernés par cette prime d’activité ».
Selon la ministre, « on va beaucoup plus loin que le Smic. Aujourd’hui, on a 3 millions de personnes qui peuvent bénéficier de la prime d’activité. C’est un complément de revenus pour les personnes qui travaillent et qui ont des salaires assez bas. Demain, il y en aura 5 millions de personnes éligibles. »
[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/6″][/vc_column][/vc_row]
