Alors que la colline du crack a récemment été évacuée, rien n’a changé et le problème reste entier à Paris. Ils seraient à minima 1500 à consommer quotidiennement cette drogue du pauvre dans les rues parisiennes. Les toxicomanes se rassemblent et forment régulièrement des camps en plein Paris ou en banlieue. Vincent Lapierre et l’équipe du Média pour Tous sont allés à la rencontre des habitants du 19eme arrondissement, rue Riquet, là où s’entassent 400 crackers.
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je préfère rien dire mais je n’en pense pas moins…
Ho quel magnifique vivre ensemble et cet esprit start up nation du deal l’innovation ce matérialise avec des laboratoires de crack , grâce a toute ces chances pour la Fronce ,cette élite de la nation
La vie a l’américaine,le libre échange et ce meltingpot de multiculturalisme il faut absolument que tout les gauchos et les bobos y goûtent
Et UN GRAND MERCI À MACRON ET RDPI le Rassemblement des Démocrates, Progressistes et Indépendants le nouveau nom de LREM
Quelle tristesse… Le crack est un véritable fléau.
« on est intervenu pour fluidifier le traffic »
de quel traffic il parle?
C’est à travers ce genre d’images qu’on peut se forger l’intime conviction qu’on fait face à un Etat et des politiques qui en ont cure de ses concitoyens. On ne peut s’empêcher de penser à la célérité avec laquelle les sphères gouvernementales se sont empressées de bouleverser le quotidien des français en recrutant des vigils devant chaque hôpital de France et de Navarre pour mettre un stop aux patients non-vaccinés. Et d’un autre côté, se montrer aussi impuissant et apathique face au fléau que traversent ces pauvres riverains. Il y a quelque-chose de dissonant dans cette idée que l’Etat œuvrerait… Lire la suite »
Les politiques disent qu’il faut régler cela via la santé, certes, mais moi je dit qu’il faut une peine extrême pour les dealers de crack ou toute drogue qui rend dépendant et détruit la personne dès la première dose.
Oui, mais on veut pas mettre de peines planchers pour le trafic de drogue, donc les juges continueront à minimiser des peines qui peuvent s’élever à 10 ans maximum d’après le code pénal …
Un grand bravo a toi vincent est a ton equipe d’avoir eu le courage encore une fois d’aller sur le terrain, et de demander a la fois au riverain et au toxico j’ai encore vue personne le faire donc respect a vous les gars, je vous soutiens depuis longtemps et j’aime toujours autant votre travaille !
Bravo à Vincent et à son équipe. J’ai moi-même vécu dans un quartier à Bruxelles où une salle d’accueil pour drogués a été installée sans la moindre consultation des riverains. Le même genre de dérive a eu lieu du moins pendant quelques années jusqu’au moment où les autorités locales (municipales) poussées par un comité d’habitants sont rentrée en conflit avec les autorités fédérales (« nationales ») pour enfin réussir à mieux gérer ces populations. Cela a été une lutte de longue haleine et pas définitivement gagnée. .
Le genre d’images que devraient nous montrer les médias subventionnés.
Merci à toute l’équipe du Média Pour Tous.
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Bravo a Vincent et toute l’equipe. Je suis fier de contribuer a ma petite echelle.
Je souhaite que du bien a tous ceux qui subissent des violences et tous les autres qui petent les plombs sous l’effet de la misère.
Je souhaite le pire aux profiteurs de crises qu’ils soient politiques ou dealers.
On pourait s’en servir comme engrais, pour regarngir le parc.
C’est d’une tristesse incroyable. Que font les autorités ???
Pfizer lui n’offre pas sa première injection il t’oblige à la prendre quasiment de force.
Pfizer lui n’offre pas sa première injection il t’oblige à la prendre quasiment de force.
Je vis en Malaisie: peine de mort pour les trafiquants de drogue (idem à Singapour et en Indonésie). entre 80 et 90% des citoyens sont pour.