La gérante réfute toute incitation au crime et dit vouloir « tester les limites de la démocratie ».
Le jeu touche à sa fin après un peu plus d’une heure. Les joueurs entrent dans une pièce et y découvrent un homme, ligoté sur sa chaise, le visage tuméfié. C’est l’heure du choix et il est lourd, puisque l’homme en question n’est autre que le président de la République en personne, Emmanuel Macron.
Trois possibilités s’offrent aux joueurs qui lui font face : le libérer en prenant de la poudre de Perlimpinpin, le mettre en prison en saisissant le Code pénal. Ou bien le tuer en optant pour le cocktail molotov, conçu avec un bout de gilet jaune.