Rescapé du Bataclan, Guillaume Valette souffrait depuis d’un sévère état de stress post-traumatique. Deux ans après, le trentenaire s’était pendu dans la clinique psychiatrique du Val-de-Marne où il avait été admis.
Un rapport médical a lié le geste de Guillaume Valette à l’attaque dont il avait été l’une des victimes le 13 novembre 2015. Selon Le Parisien, qui raconte l’histoire, cela pourrait conduire la cour d’assises a faire officiellement du jeune homme le 131e mort des attentats du 13 novembre, conformément au souhait de ses parents.