Alors que le volcan politico-médiatique dont la loi immigration a provoqué l’éruption n’en finit pas de vomir sa lave en France, montrant à la fois l’impuissance politique du gouvernement et le pouvoir des idéologues qui s’opposent à toute loi et tout débat, les pays scandinaves montrent sans bruit l’exemple : on peut gouverner pour maîtriser l’invasion en cours.
Condition de l’aide au développement : rapatrier les illégaux
La Suède était voilà dix ans en pointe de « l’accueil » des immigrés non-européens : elle a observé la « crise des migrants » de 2014 -2016 et ses conséquences sociales, et, changeant à la fois de majorité et son fusil d’épaule, s’est lancée dans une politique plus restrictive, qu’elle continue. Jeudi 14 décembre le ministre suédois du Commerce extérieur et de la Coopération internationale pour le développement, Johan Forssell a annoncé que son pays soumettrait désormais l’aide publique aux pays en voie de développement à une condition : qu’ils rapatrient leurs ressortissants déboutés du droit d’asile ou expulsés. Faute de quoi l’aide serait simplement supprimée.
Suède et Danemark, deux pays qui ont une monnaie nationale. Soumettez ce texte à nos experts des questions européistes pour qu’ils regardent et réexpliquent…
« l’Union européenne n’est pas la sources de tous les laxismes en matière d’immigration » mais personne ne dit ça, par contre c’est le verrou à faire sauter pour s’autoriser à faire autrement !