Arrivé à Kigali ce 27 mai, le président français Emmanuel Macron a indiqué que la France a le « devoir de regarder l’histoire en face et de reconnaître la part de souffrance qu’elle a infligée » aux Rwandais.
Arrivé à Kigali ce 27 mai, le président français Emmanuel Macron a débuté sa visite officielle au mémorial du génocide de Gisozi, à Kigali, dont il a signé le livre d’or. Accompagné d’une délégation où figurent notamment la rescapée Annick Kayitesi-Jozan et l’écrivaine Scholastique Mukasonga, il a livré un discours dans lequel il a notamment reconnu les « responsabilités » de la France dans l’histoire qui a conduit au génocide, tout en appelant à nouer de nouvelles relations entre les deux pays.
Comme cela était prévisible, le président français a écarté le mot tabou de « complicité ». « Les tueurs qui hantaient les marais, les collines, les églises n’avaient pas le visage de la France, a-t-il ainsi déclaré. Elle n’a pas été complice. Le sang qui a coulé n’a pas déshonoré ses armes ni les mains de ses soldats, qui ont eux aussi vu de leurs yeux l’innommable, pansé des blessures, et étouffé leurs larmes ».
macron comme a son habitude dans son desir de sauver de ce qui reste de la francafrique et de maintenir une influence française en afrique francophone en pleine deliquescence fait n,importe quoi! et embarque la france dans un sentier qui auras de lourdes consequences pour cette nation autant que fut la loi gayssot et la reconnaisance de l,implication du gouvernement de vichy dans la deportation des juifs en france sous l,occupation! par chirac!