Lors de la COP26, de nombreux chefs d’Etat se sont rendus à Glasgow en jets privés et en avion. Malgré les promesses de changement de la part des participants, les émissions de carbone ont atteint encore des sommets en seulement 15 jours.
Boris Johnson rentre en avion après la COP26
L’aéroport de la capitale écossaise a fait face à des embouteillages inédits durant la COP26. Nombreux ont été les participants qui sont arrivés en jet privé malgré les critiques des écologistes.
Le cas le plus symbolique est celui de Boris Johnson, Premier ministre britannique, qui a décidé de faire le retour Glasgow – Londres en avion. Alors que dans son discours il avait promis de « prendre au sérieux le réchauffement climatique », le britannique a émis 760 kg de CO2 pour seulement 500 km ! Les experts de France 2 (qui ont révélé l’information) indiquent que c’est 1000 fois plus que s’il avait pris le train pour rentrer.
Face aux critiques, le gouvernement du Royaume-Uni a justifié ce choix par un agenda chargé. Une excuse qui a été balayée par les militants écologistes qui dénoncent des dirigeants incapables de faire un effort même pour le symbole.
Les émissions carbone records de la COP26
Mais Boris Johnson n’est pas le seul puisque selon le média positivr.com, le bilan carbone de la COP26 s’élève à 87 741 tonnes d’équivalent CO2. Un score égal à celui des émissions annuelles de 7 916 Français !
En seulement deux semaines, les 39 000 participants ont explosé le quota de carbone, environ 2,2 tonnes d’équivalent CO2 par personne, qu’il faudrait respecter à l’année pour maintenir une planète en dessous des +1,5°C, selon l’objectif de l’Accord de Paris.
La principale raison de cette forte émission de carbone est l’utilisation des avions et jets privés pour se rendre à la COP26. L’aéroport de Glasgow a vu plus de 400 jets privés se poser ce qui équivaut à 30% des émissions.
Et c’est eux qui préparent le climatisme comme le covidisme, je ne suis pas pressé de les voir devenir vraiment sérieux en fait, à nous imposer de nouveaux gris-gris et contrôles sous autorité « scientifique » avec des catastrophes annoncées non réalisées « grâce aux efforts » et j’en passe. Mais il se passe la même chose qu’avec le Covid en plus lent, on crée une attente médiatique et populaire basée sur la peur, les politiques entrent doucement dans le bain tout en s’exposant aux critiques comme ça, puis un beau jour… retournement de veste très violent, tout le monde confiné, la puce, le… Lire la suite »
N.O.M, rien de plus…