Le Brexit n’aura pas lieu, du moins, pas pour le moment. Un député issu du propre camp de Boris Johnson a fait adopter un amendement – à 322 voix pour, 306 contre – qui reporte une fois encore le Brexit, « le temps que soit adoptée toute la législation nécessaire à sa mise en œuvre ». Autrement dit, il va falloir s’armer de patience pour voir la volonté du peuple britannique s’appliquer. Pour François Asselineau, chef de fil du Frexit, il s’agit là d’une « torsion de la volonté populaire » voulue par des « euros-fascistes ». Son allocution est intéressante à plus d’un titre :
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