Une institution décatie, un colosse aux pieds d’argile : au gouvernement, le récit politique de l’échec des recherches vaccinales des champions français que sont l’Institut Pasteur et le mastodonte Sanofi est cousu de fil blanc, et le coupable est tout trouvé : le conservatisme et la timidité d’une industrie pharmaceutique sclérosée, trop déconnectée des start-ups innovantes.
« En matière de recherche scientifique, il faut que la France retrouve le goût du risque. Il faut de l’audace« , estimait ainsi sur Radio Classique le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, ce mercredi 27 janvier, appelant notamment à « continuer à investir dans nos start-ups » et à tisser « un lien plus étroit entre recherche fondamentale et développement industriel« . « Regardons ailleurs ce qui a réussi, ne restons pas les deux pieds dans le même sabot. » Le Haut-commissaire au Plan, François Bayrou, appelait simultanément sur France Inter à investir dans la recherche pour éviter la fuite des cerveaux, « signe d’un déclassement » de la France « inacceptable« .
La France est en faillite. Nous n’avons plus d’argent pour rien donc pour la recherche.
N’oublions pas que Giscard d’Estaing avait laissé la France sans une seule dette. Mitterand a emprunté pour distribuer de l’argent aux pauvres et aux moins pauvres et n’a jamais pu ou voulu rembourser. Lorsqu’on doit de l’argent, on ne peut plus se faire entendre. Il nous a mis à genoux et nous ne pouvons plus nous relever. Les présidents qui ont suivi ont laissé la dette s’envoler et n’ont pas été capable ou n’ont pas pu rembourser. Voilà l’état de la France actuellement.
Oui ou alors ils ont cherché à concourir moins malhonnêtement que les autres (l’Express y voit un lien avec le piratage). Si Raoult avait sorti ces études, et donc qu’elles avaient pu être examinées par les scientistes avec un a priori défavorable, ils arrêteraient leur communication niaise répétant les résultats sans critique, et la catastrophe vaccinale en cours (piquer les gens avec un vaccin génique peu efficace et aux conséquences inconnues, à la fois pour la santé, la génétique, mais aussi pour favoriser l’apparition des mutations et les formes graves) n’aurait pas lieu.