Le procès en extradition de Julian Assange, journaliste et fondateur de Wikileaks, s’est tenu en septembre 2020. Actuellement toujours incarcéré en isolement dans une prison de haute sécurité à Londres, l’australien risque une peine de 175 ans de prison si la justice britannique décide de l’extrader aux États-Unis. Viktor Dedaj, spécialiste français du dossier Assange, revient en longueur sur ce procès historique pour l’histoire du journalisme et la liberté d’informer. Verdict le 4 janvier 2021…
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à chaque fois que j’entends parler d’assange (surtout quand c’est dedaj) je suis submergée par la colère, la tristesse, le sentiment d’injustice, le constat de mon (notre) impuissance. entre cette dictature qui maintenant (merci covid !) ne se cache même plus, la machination contre assange, et tous ces journalistes et lanceurs d’alerte détenus et/assassinés, je me dis qu’il est temps que tout explose. on ne peut pas aller plus loin dans l’ignominie humaine. l’humanité est pourrie jusqu’à la moelle, qu’elle disparaisse de la surface de la terre, c’est la honte de la création. quel est l’intérêt d’avoir créé une vermine… Lire la suite »
Hélas je crois que vous avez raison
Que la corruption de l’Etat profond américain ait réussi à mettre au point une fraude aussi massive aux élections américaines de 2020 n’est pas étonnant quand on voit la puissance de cette corruption à l’oeuvre dans l’affaire Assange.
Nous avons livré Assange à la corruption mondialiste. Maintenant avec la dictature sanitaire qui progresse, les confinements à répétition, les pertes de libertés, nous sommes sur le point de partager le même sort que lui…
Je dis peut-être des bêtises mais pourquoi ne porte-t-il pas un bracelet électronique au lieu d’être emprisonné? A-t-il du sang sur les mains? je ne connais pas bien l’histoire.
Demain, tous les hommes libres recevrons le traitement Assange. C’est notre punition pour l’avoir livré à la corruption mondialiste.
Sa souffrance, la torture qui lui est infligée, est de l’ordre de celle de la passion du Christ.
Mon dieu pardonnez leur car ils ne savent pas…
J’ai envie de chialer !
merci vincent pour cette interview émouvante .
viktor dedaj est un sacré bonhomme, il parle avec son coeur