Les micro-entrepreneurs vont bientôt connaître un coup de rabot sur l’ACRE, le dispositif d’exonération de cotisations dont ils bénéficient durant trois ans après la création de leur activité.
Il s’agissait d’un coup de pouce (dégressif) pour inciter à créer sa micro-entreprise, mais le gouvernement a annoncé ce 20 septembre vouloir revenir dessus par décret. Concrètement, à partir du 1er octobre 2019, l’exonération de cotisation va passer de 75% à 50% la première année, de 50% à 25% la deuxième année et de 25% à 10% la troisième année. A partir de 2022, les micro-entrepreneurs ne seront plus exonérés que sur une seule année (exonération de 50%). La perte pour les micro-entrepreneurs est donc considérable. 450.000 personnes sont concernées, en plus de tous les futurs micro-entrepreneurs.
« En des termes très clairs, cette décision revient à augmenter les cotisations sociales des auto-entrepreneurs, explique le président de la FNAE. L’exemple est criant : un auto-entrepreneur qui exerce une activité de services et qui réalise en moyenne 830 euros de chiffre d’affaires par mois passera de 3 300 à 5 500 euros de cotisations sociales, sur ses 3 premières années d’activité. Soit une augmentation de 2 200 euros ».
Pour l’Etat en revanche, c’est une opération très rentable qui devrait lui rapporter 600 millions d’euros par an jusqu’en 2022 – puis bien plus à partir de cette date – sur le dos des plus précaires d’entre nous. On se souvient que l’Impôt sur la Fortune (ISF) qui touchait les plus riches a quant à lui été tout bonnement supprimé par Macron.
Quel sera le coût politique de toutes ces mesures ?
Le gouvernement espère sûrement que cette information ne circule pas trop… À nous de le décevoir.
Le Média pour Tous
Et oui il faut éponger la dette publique de 2400 milliards…. Mais a quand on rabote le train de vie de l’état
Finalement les sans riens , les sans noms, sont confrontés à la désinformation orchestrée par les médias financés par toute l’olligarchie gouvernementale, copains et donateurs. Notre problème à nous, c’est de rétablir la solidarité à défendrele bien commun avant les revendications corporatives. La question c’est comment faire, pour informer, motiver, le désabusés, les découragés de la politique. l’un des pilier de cette information c’est de rechercher comment profiter du RIP pour informer, motiver, redinamiser le moral des plus démunis. Le MEDIA pourrait peut être creer un groupe de réflexion pour réfléchir à un slogan rassembleur, c’est peut être une utopie… Lire la suite »
seule solution : quitter ce système massivement https://placedeshumains.com/