Guillaume Leroy, doctorant en droit pénal des affaires et président de l’association Transparence Citoyenne, s’interroge sur l’organisation prochaine du Conseil de Paris et sur les délibérations qui vont y être proposées, ce 21 mai. Il s’insurge des dépenses faramineuses de la mairie de Paris, sous couvert d’un affichage humanitaire.
Guillaume Leroy, doctorant en droit pénal des affaires et président de l’association Transparence Citoyenne, s’interroge sur l’organisation prochaine du Conseil de Paris et sur les délibérations qui vont y être proposées, ce 21 mai. Il s’insurge des dépenses faramineuses de la mairie de Paris, sous couvert d’un affichage humanitaire.
Du 21 au 24 mai prochain, l’assemblée des élus de la capitale se réunira pour décider des grandes ambitions de la ville. Les Parisiens s’attendront sûrement à avoir quelques éclaircissements sur la politique d’Anne Hidalgo, dirigée dans le silence feutré de son cabinet. Que nenni, le Conseil de Paris se grimera pour l’occasion en guichet social de luxe, attribuant des subventions en veux-tu en voilà, à des associations idéologues ou parfois loufoques. Chroniques d’une mairie atteinte de subventionnite aiguë.
Demandez, et vous recevrez. Ce verset biblique semble être devenu la nouvelle maxime de la majorité au Conseil de Paris. Depuis sa réélection, la maire de Paris et sa majorité attribuent annuellement un montant avoisinant les 300 millions d’euros de subvention. Si certaines peuvent s’avérer justifiées, comme celles allouées à l’ensemble du réseau de crèches municipales, d’autres subventions sont attribuées à des projets bien loin des préoccupations des Parisiens.