Emmanuel Macron, qui se rêvait écrivain — peut-être plus que Président de la République ? – s’agace, nous apprend Le Canard enchaîné. Selon lui, la place qu’occupent les ministres dans la rentrée, moins celle littéraire que celle des essais, devient pesante. Jalousie présidentielle ?
Les politiques savent-ils que les sondages n’engagent que ceux qui les lisent, tout en enrichissant ceux à qui on les commande ? Pas certain, si l’on suit les confidences recueillies par le Coin-Coin. Selon les indiscrétions, Emmanuel Macron s’agacerait de voir son gouvernement reposant sur les lauriers de chiffres favorables pour la présidentielle de 2022, et n’en ficherait plus une ramée.
Pire : constatant les sorties en librairies de ses légionnaires, César s’impatiente : « Mais les Français vont finir par se dire que les ministres ne foutent rien et qu’ils passent leur temps à écrire des livres. » En effet, plusieurs occupent de la place en librairie.
Inventaire à la Prévert
Jean-Michel Blanquer a publié École ouverte – logique pour le locataire de la rue de Grenelle – chez Gallimard ce 9 septembre. Moralité, 620 exemplaires vendus. Un plan promo manqué ? En tout cas, une copie à revoir pour le ministre de l’Educnat.
Marlène Schiappa, tout récemment, fait paraître chez Stock Sa façon d’être à moi – un titre aux accents de Julien Clerc — ce 6 octobre. Le démarrage pour la ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur de France, chargée de la Citoyenneté n’a rien de foudroyant : 64 exemplaires. Peut-être que son prochain livre, C’est une bonne situation, ça, ministre ? (chez L’Observatoire), prévu pour le 26 janvier prochain fera-t-il mieux…
On les aura ces connards.
DES fainéants qui sont la que pour le fric..
Des escrocs opportunistes…..