Les négociations d’un accord que réclamait Bruxelles depuis une dizaine d’années à la Confédération helvétique ont fini par achopper après de nombreux points de désaccords, en particulier sur la libre-circulation des personnes.
La Suisse, après des mois de tergiversations, a décidé d’en finir avec les négociations sur ses relations avec l’Union Européenne, estimant notamment que cela mettrait en péril sa politique migratoire. Une décision que «regrette» Bruxelles.
S’exprimant en conférence de presse, le président suisse Guy Parmelin a annoncé que la Confédération «mettait un terme» aux négociations.
Cet accord visait à homogénéiser le cadre juridique concernant la participation de la Suisse au marché unique de l’UE et à instaurer un mécanisme de règlement des différends.